La fessée de l'intérimaire

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il y a 6 ans

La fessée de l'intérimaire

Un soir de juillet mon chef me téléphone pour m'informer qu'au mois d'août, je ferai équipe avec une nouvelle intérimaire, car mon collègue habituel ne peut être présent le mois prochain. Très bien lui dis-je aucun problème particulier, tu sais au contraire faire équipe avec une femme ça me changera, et personnellement je préfère travailler avec une femme qu'avec un homme. Je travaille en effet depuis plusieurs années, dans une société immobilière à Paris. Je suis affecté au service de la direction informatique. Je m'occupe en particulier de l'impression des quittances de loyers, et de la mise sous plis de celles-ci. Arrivé à la date fixée le mois précédant, je fais la connaissance de ma nouvelle coéquipière, qui est une très jeune fille qui vient d'avoir ses dix-huit ans le mois dernier. Elle est très sympathique et elle se prénomme Laura. Elle travaille un mois pendant ses vacances pour se faire un peu d'argent de poche. Pendant le reste de l'année elle suit des cours à la faculté, ou elle étudie le droit international. Au fil des jours je fais plus ample connaissance avec elle et tout ce que je peux dire c'est qu'elle n'est pas timide et n'a pas froid aux yeux. Elle demeure seule dans un appartement que sa mère finance, son père étant décédé quand elle était très jeune dans un accident de la route. L'avant dernier jour de travail, elle commet une grossière erreur sur l'imprimante et je la préviens en plaisantant qu'à sa prochaine faute, je lui mettrai une fessée, mais elle ne donne pas suite à mon avertissement stupide.

A peu près une heure plus tard, elle refait la même erreur. Je lui dis que cette fois ci elle a gagné sa punition. Elle me répond que ça ne la dérange absolument pas, car depuis l'âge de dix ans elle fantasme de se faire fesser par un homme beaucoup plus âgée qu'elle. Elle me provoque en me disant que je ne suis pas capable de mettre à exécution mes paroles, et que ce n'est aux actes que l'on juge les vrais hommes. Je lui explique qu'elle se trompe complètement et c'est alors qu'elle me lance : - Et bien je suis d'accord pour que tu me donnes une fessée ! - Tu plaisantes ou tu es sérieuse, attention c'est une vraie fessée que je vais te mettre, je ne plaisante pas, Laura ?

– Non, non je suis tout à fait sérieuse, c'est quand tu voudras ! Là il faut avouer, que je suis un peu surpris de sa réponse, mais me reprenant rapidement je lui réponds :

– Bon ok, si tu es libre samedi ou dimanche, je t'invite à déjeuner chez moi, et après le repas je te mets la fessée promise. Et prépare bien tes fesses ! - Oui ça me va pour samedi, je n'ai rien de particulier à faire ce jour là. J'acquiesce et je fixe l'heure à laquelle elle peut venir à mon domicile et je lui écris mon adresse sur une feuille de papier.

Le samedi venu, elle se présente à mon appartement à l'heure dite. Ce mois d'août étant très chaud cette année, elle est simplement vêtue d'un mini short ultra-moulant noir et d'un petit bustier blanc, avec comme chaussures un genre de « spartiate grecque ». Son visage n'est pas maquillé et affiche un air juvénile emplit de fraîcheur naturelle. Elle est tout simplement adorable et son allure affiche toute l'impudeur de sa jeunesse et de sa fougue.

– Tu veux un petit apéritif ?

– Oui une vodka orange si tu as, s'il te plait ?

– Attention, tu vas être bourrée !

– Non, t'inquiètes, j'assure !

– Ok baby !

Je lui sers ce qu'elle a demandé et pour ma part je me sers un whisky. La conversation est variée et on aborde différent sujet allant de la pluie et du beau temps à l'origine du monde (très belle peinture).

Au cours du repas elle me narre sa vie et sa jeunesse, en me révélant que sa mère à toujours été gentille envers elle, mais qu'elle manquait cruellement d'amour maternelle, et la laissait faire ce que bon lui passait par la tête. Mais surtout que la présence d'un père qui la cajole quand elle est sage et la protège envers les aléas de la vie, qui la punie quand elle a commit une faute, lui a manqué terriblement. Et que parfois elle aurait accepté sans condition sa sévérité et si ça s'était avéré nécessaire, une punition corporelle. Et que l'origine du fantasme de la fessée est née le jour ou elle a été en âge de réaliser que le manque d'un père, qui a disparu quand elle n'avait que trois ans, et donc qu'un homme à la maison lui manquait toujours. Depuis le décès de son « papa » sa mère qui était amoureuse folle de son mari, ne s'en n'est jamais remise, et ne s'est jamais remariée. Bien sûr me dit-elle, de nombreux amants ont partagés le lit de ma mère, mais jamais d'aventures sérieuses et durables. Moi je crois continue-t-elle, que je suis identique à ma « maman », parce que je ne me suis jamais attaché à un petit copain, pendant une longue période.

– Oui, mais c'est un peu normal, tu n'as que dix-huit ans, et tu n'es qu'à l'aube de ta vie amoureuse et sexuelle, tu as toute la vie devant toi. - Oui, tu as raison, mais pour le moment je suis très bien comme ça. – Actuellement, tu as un petit copain ? - Non pour l'instant c'est la trêve je me repose et puis, ils sont tous nuls en ce qui concerne les pratiques sexuelles.

– Laura, si on passait à ta fessée qu'en dis-tu, on pourra discuter après si tu le souhaites ?

– Oui d'accord, je me mets toute nue ?

– Pourquoi toute nue ? dis-je étonné.

– Parce que, j'ai oublié de te dire mon fantasme est de me faire fesser nue sur les genoux d'un homme. - Oh là, là tu vas beaucoup trop vite, j'aurai du t'affranchir au préalable, dans la fessée il y a un cérémonial à respecter d'une part ! Et d'autre part c'est toujours le fesseur qui déshabille la fautive. En tous cas, c'est mon principe, sauf certaines exceptions. Mais le plus important est que tu dois impérativement m'obéir aveuglément sans poser de question, et que si tu acceptes ces conditions tu dois être soumise totalement à mes désirs. - Ok j'ai compris, et je suis prête à faire tout ce que tu m'ordonneras sans exception et sans réserve. - Très bien, mais autre élément important, une fois que la fessée est commencée, il n'est pas question que je cesse, même si tu as très mal, et que tu me supplies. Dans un premier temps c'est plutôt une « fessée soft ou amoureuse » et en dans un second temps une « fessée coercitive », ou « punitive » si tu préfères. - J'accepte toutes ces conditions, je suis peut-être folle mais j'ai confiance en toi malgré que l'on se connait depuis peu, mais peux-tu me promettre que tu n'a b u s e ras pas de moi sexuellement parlant j'entends ?

– Oui bien entendu ma cocotte, je connais les limites à ne pas dépasser sans ton consentement et contre ton gré je ne ferai rien de répréhensible à tes yeux, je te le promets. - Laura, approche et viens prendre position sur mes genoux et vite ! Mon ton a changé brusquement, et elle est un peu surprise par la rudesse de ma voix. Une fois en place je lui applique une série de claques puissantes, sans beaucoup d'effets sur le tissu de son short. Elle encaisse sans broncher cette première série. - L'échauffement est terminé, maintenant, je vais te mettre cul nu, je te préviens ça va claquer davantage ! Je fais glisser son short jusqu'en bas de ses jambes et le lui retire. Mais surprise elle ne porte pas de petite culotte la coquine.

Les coups pleuvent sur ses deux fesses splendides, et d'une fermeté rare même pour une fille de son âge. Ses deux hémisphères commencent à rosir à vue d'œil, et elle anticipe les frappes en se raidissant. J'arrête quelques instants pour masser délicatement ses deux fesses suppliciées. Je recommence les claques en la massant de temps à autre. Au bout d'une trentaine de coups je lui ordonne :

– Lève-toi et regarde-moi !

Laura se lève et met en évidence sous mes yeux, son pubis et son sexe. Quel régal ce cette petite toison brune, et ce petit ventre de jeune femme encore a d o l e s c e n t e. Son regard croise le mien mais je perçois ostensiblement sa gêne et sa honte, et elle baisse aussitôt les yeux vers ses pieds. Je me lève et la préviens que je vais la déshabiller entièrement. J'ôte son bustier, qui libère deux petits seins tout mignons et très bien dessinés. Vu la chaleur Laura ne porte pas de soutien-gorge, mais c'est inutile ses seins fermes tiennent suffisamment droits et fiers pointés en avant. L'examen de son corps magnifique étant fait, je lui dis : - Tu es vraiment mignonne à croquer toute nue. Ses joues s'empourprent, et sa gêne se fait sentir malgré son assurance première. J'ai quand même plus de trois fois son âge, et le fait de se faire dévêtir et de se tenir nue devant moi la perturbe énormément. Je la soulève alors et la prend dans mes bras, et viens la coucher sur le bras du canapé lui mettant de cette façon les fesses en l'air.

À ce moment mon sexe à atteint sa plénitude d'extension. - Maintenant je vais te corriger, comme je te l'ai promis, et tu vas peut-être regretter de m'avoir défié ?

Je l'observe et je lis l'angoisse sur son visage angélique. Elle me regarde comme une petite chatte effarouchée.

– Tu ne me mets pas la fessée sur tes genoux ? - Je ne t'ai pas autorisé à parler à ce que je sache. Pour cette raison ta punition sera aggravée de dix coups de martinet, c'est bien compris ?

– Oh non pas ça !

– Tu vas la fermer, bordel ?

– Heu...Oui . - Oui qui ? Je vais t'appendre à me respecter ! Tu veux une autre punition ? - Non Niala.

– Je passe pour cette fois, mais attention, Laura ! Sur ces mots je lui administre une dizaine de claques sonores et appuyées. Des cris sont poussés à chaque frappe, elle commence à souffrir de cette accumulation de coups.

– Ne bouge surtout pas, ton cul est à ma merci, cocotte ! Je me déplace pour aller chercher le martinet dans ma chambre. Me voyant revenir avec l'instrument de t o r t u r e elle pâlit.

– Tu vas regretter d'avoir ouvert la bouche crois-moi, ça va aller très mal pour ton petit cul ! Je cingle ses fesses avec les lanières mordantes du martinet mais au bout de trois coups...

– Aïe, aïe j'ai mal arrête pitié ! Son visage s'inonde de larmes de douleurs, mais je continu la sentence sans lui répondre. - Ouille, ouille ! S'il te plait Niala, je t'en supplie à genoux si tu veux ?

Je ne lui réponds pas. Arrivé au dixième coup, ses deux demi-lunes sont zébrées des morsures des lanières de cuir. Son corps tout entier est secoué de spasmes irréguliers, des larmes coulent le long de ses joues rosies. -Tu as compris maintenant ? -Oui, Niala. me dit-elle en pleurnichant. - Mais ce n'est pas terminé, tu vas avoir ta fessée sur mes genoux. Elle se remet à s a n g loter de plus belle. - Non pitié, j'ai trop mal, je ferai ce que tu voudras mais pas maintenant, s'il te plait ? Si tu veux, je te suce ?

– Petite effrontée, tu vas voir si tu me suces, en attendant c'est ton cul que je vais rougir ! Tu l'as voulu ta fessée, ton désir sera exhaussé, et tu ne discutes pas mes ordres ! Cela t'apprendra à ne plus faire d'erreur et à me défier, petite sotte ! Je passe mon bras sous son ventre chaud et la soulève du sol, je m'assois sur le canapé et la positionne en travers de mes genoux mettant en évidence sa croupe rebondie. - A nous deux ma cocotte, ça va chauffer pour tes fesses... Je lui applique les premières claques et je me rends compte que la douleur se fait de moins en moins sentir, son cul devient comme insensibilisé par la répétition d'impacts successifs. Ayant pitié de ses fesses martyrisées, je lui frictionne doucement entre chaque claque. C'est alors que je sens sa main effleurer mon genou, mais c'est son sexe qu'elle cherche à atteindre. Etant parvenue à ses fins, elle se masturbe vivement pendant que les coups tombent sur son malheureux postérieur. Ses doigts experts masturbent son clitoris excité à l'extrême, et elle parvient au bout d'un long moment à la quintessence et à la plénitude de sa jouissance. Elle explose littéralement d'un plaisir intense et prolongé. Sa libido stimulée et satisfaite, elle reste comme amorphe sur mes genoux, sans aucune réaction pendant de longues minutes.

La fessée achevée, sur un ton ne permettant pas la réplique je lui somme de mettre ses mains sur la tête. Je m'absente quelques secondes, et je vais chercher dans la cuisine un petit banc peu large. - Monte là-dessus, et tu ne bouges pas d'un millimètre ! Sinon, je t'administre une autre fessée !

C'est à ce moment que je m'aperçois que sa chatte est trempée ! La petite cochonne, me dis-je en moi-même. Ses pieds se placent sur la plate-forme étroite, et son buste se redresse pour prendre la position verticale. Je la laisse ainsi une bonne dizaine de minutes, et examine à nouveau sa silhouette avec une grande minutie. Une sensation charnelle indéfinissable me trouble énormément chez Laura, je crois que je désirerai posséder cette gamine pour toujours. C'est en tout cas ma première impression, et j'en suis très ému. Mais je reviens rapidement à la réalité du moment.

– Ton corps est luisant par la transpiration, tu es trempé, je vais te doucher. Maintenant tu peux baisser les bras, ta punition est terminée. Tu as bien mouillée, petite coquine ?

– Ah oui, j'ai pris mon pied, merci Niala !

Je l'emporte dans mes bras à la salle de bain et la dépose dans la baignoire. Je l'asperge d'eau et la savonne sur tout le corps en faisant attention à ses pauvres fesses rougies par ma main dévastatrice. Elle apprécie beaucoup ce bain improvisé et surtout le fait d'être lavée. - C'est la première fois de ma vie que je suis lavé par un homme, et c'est très plaisant et agréable. - Tu sais à ton âge les premières fois vont être fréquentes. A présent peux-tu me dire comment tu as ressentie la fessée ? - Je dois t'avouer que j'en ai retirée un grand plaisir et une jouissance jamais atteinte auparavant. Mais tu m'as fait souffrir un bon moment avant de l'atteindre, mais maintenant je ne regrette pas. - Tourne-toi que je t'essuie correctement les fesses. Tu vois encore une première fois, pour ce qui est de la douleur, elle est nécessaire pour exacerber le plaisir et arriver à son paroxysme.

Sa peau est séchée avec minutie dans tout les replies de son corps et de son intimité. Laura est debout devant moi avec un doigt à la commissure de ses lèvres comme une petite fille qui a fauté. Je dépose tendrement un petit baiser juste au dessus de son pubis, et sa peau frissonne imperceptiblement. - A présent je vais masser tes fesses de bébé que tu es, tu veux bien ? - Tu dois bien te douter que oui ?

La toilette achevée je la reprends dans mes bras et l'amène sur la table de la salle à manger, l'allonge sur le ventre sur la couche improvisée. J'extrais de ma poche le tube de crème adoucissante contre les brûlures et inflammations diverses, que je me suis procurée à la pharmacie voisine. Ses fesses sont enduites de cette pommade bienfaitrice, et je commence un massage délicat de son fessier. J'effleure du bout des doigts sa petite rosette, mais je ne pousse pas davantage mes investigations sexuelles.

– Oh ça fait du bien, j'ai le feu aux fesses !

– Oui tu peux le dire, c'est de circonstance. J'essuie mes mains avec un mouchoir en papier, et lui prodigue un massage sur tout son dos et sur ses cuisses et ses mollets.

– Tu veux que je te caresse de l'autre côté, c'est comme tu veux ?

– Oui, s'il te plait avec joie, caresse-moi partout. Elle se retourne écarte ses bras en croix, et se laisse caresser langoureusement les seins et ses deux petits tétons, qui durcissent au contact de mes doigts. Quel bonheur cette fille admirable, sensuelle et chargée d'une volupté délicate et subtile.

Moi un homme de cinquante-trois ans, ayant vécu et connu une multitude de femmes de tous bords, je suis en train d'avoir le coup de foudre pour cette fille de seize ans. Je poursuis ma descente et l'exploration de son corps, ses yeux sont fermés et son bassin ondule sous le contact de ma main, Laura est lascive et détendue. Quand ma main arrive dans la zone de son pubis, ses cuisses s'écartent comme par enchantement. Je pense à cet instant, « Elle est gonflée la gamine et n'a peur de rien ». L'autorisation m'étant donnée sans qu'une parole ne soit prononcée, je glisse délicatement mes doigts dans l'ouverture de son entrejambe, et caresse son sexe et le pourtour de ses lèvres. Mon index et mon majeur tourne doucement autour de son clitoris, et le titille habilement. Laura commence à mouiller abondement, j'augmente ostensiblement la vitesse de mes doigts. Je suis dans une excitation et un état fébrile, elle me fait bander terriblement cette gamine. Comme la première fois, elle a un orgasme intense, des gloussements de plaisirs s'échappent de sa bouche. De nouveau elle reste allongée repus de bonheur et de caresses. - Ah quel pied encore ! T'es un champion, bravo. - Tu ne m'avais pas dit que tu étais une petite cochonne et une petite perverse, mais ce n'est pas un reproche de ma part, au contraire. Tout à l'heure, j'ai constaté que tu ne portais pas de petite culotte, tu te promènes toujours comme ça ? - Non uniquement l'été quand il fait chaud, je me sens mieux, et j'aime bien être libre, les fesses à l'air.

– Ah oui, pour ça j'ai vu ! - Niala, je te remercie c'était fantastique cette fessée depuis le temps que j'en rêvais. Tu es un amour, je crois que je vais en rêver cette nuit ! - Oui, mais là c'était une « fessée punitive », si l'expérience te tentes pour une fessée plus soft, il faudra que tu reviennes une autre fois. Dorénavant tu ne pourras plus avoir le fantasme d'être fessée nue par un homme, il va falloir que tu en imagines un nouveau, mais tu en as peut-être d'autres je suppose ? Dans le développement du mécanisme de la fessée une grande partie est physique et l'autre partie cérébrale. Assise sur le rebord de la table, elle me sourit, et dépose un baiser au coin des lèvres.

– Je ne regrette pas d'être venue, un moment j'ai eu une hésitation et enfin je me suis décidée. Avant de venir j'en ai parlé à ma mère, car je suis très libre avec elle, c'est comme une copine. Et elle aussi m'a avoué qu'elle à toujours été tentée par une fessée donnée par un homme, mais n'a jamais osée franchir le pas.

– Eh bien essaies de la décider, raconte lui ta fessée. Si tu reviens, elle peut venir avec toi dans ce cas je vous mettrais une fessée en duo. Maintenant si elle préfère venir seule, c'est son choix, c'est comme elle veut. Elle a quel âge ta maman ?

– Trente sept ans, mais je lui dirai ce que tu m'as dit.

– Elle est très jeune, elle t'a eu de bonne heure ? - Oui à vingt et un ans.

– Allez debout jeune fille et rhabille toi, je ne vais pas t'habiller quand même ? Si je veux bien, s'il te plait Niala tu seras gentil. Je lui mets une tape amicale sur les fesses. - Tu es vraiment un bébé, n'est-ce pas Laura ?

– Oui papa.

– Tu te fous de moi en plus, allez soulèves une jambe que j'enfile ton short ! La demoiselle revêtue, elle prend congé et me dit qu'elle me tient au courant pour sa mère et elle-même. Je lui donne mon numéro de téléphone, elle m'écrit le sien sur un post-it, et on s'étreint amicalement et je dépose un baiser sur ses lèvres. - Au revoir Niala et merci pour tout, tu es un type sympa. La prochaine fois, je m'occuperai de toi et de ce que tu as entre les jambes !

– Comme tu voudras ma belle, mais j'ai déjà hâte que tu reviennes, à bientôt !

La porte à peine refermée, je m'empressais de me masturber pour libérer ma semence ! Une minute de plus et j'éjaculais dans mon jean.

Niala Terof

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